Nom(s) : Anderson
Prénom(s) : Felicity
Date de Naissance : 2 avril
-----> Age : 16 ans.
Origine : Australienne
Rang : Survivante
Pouvoir : Felicity a le pouvoir de voir les évènements passés des individus, une sorte de voyance qu’elle ne contrôle pas du tout. C’est surtout lorsqu’elle touche aux gens qu’elle réussit à voir leur passé, mais évite de s’en servir, car il lui cause de terrible maux de tête.
Famille : Sa mère, Anna, était une jeune femme pleine de vie et d’optimisme. Elle aimait beaucoup Felicity, et faisait tout pour subvenir à ses besoins. Son père, Terrance, était rarement à la maison, mais l’aimait aussi beaucoup malgré que sa fille l’ignorât. Ils sont tous les deux morts lors de l’avènement de la GE. Elle était enfant unique.
Caractère : Plutôt banale dans son genre, Felicity n’est pas un modèle de gentillesse communément décrit dans les livres. Sans être méchante, elle se fout un peu du reste du monde, et ne vit que pour sa propre gouverne. Égocentrique ? Un peu, oui. Peut-être beaucoup. En fait, énormément. Cependant, il reste que ce n’est qu’une image qu’elle se donne, et qu’elle l’abandonne assez vite lorsqu’elle prend confiance en quelqu’un, chose qui ne se fait pas dans l’immédiat, généralement. Pas un brin excentrique, elle est en fait plutôt sobre, calme, mais sait s’activer lorsqu’il le faut. Elle ne porte pas dans ses gènes l’optimisme indéniable de sa mère, étant plutôt portée sur le dark-side. Fascinée par le fantastique et l’astronomie, elle doit s’avouer une amateur de phénomènes inexpliqués et inexplicables. Plutôt solitaire, quoique ne refusant jamais la compagnie que quiconque, elle espère secrètement faire carrière dans les sciences. Bien que très simple, elle garde toujours un petit côté espiègle, et ne se gênera pas pour vous jouer un mauvais tour. Elle est aussi essentiellement honnête, et ne privera pas de dire des conneries parce qu’il y a un vieux dans les parages. Il est bon de savoir qu’elle a de sévères allergies aux produits laitiers et aux noix, et qu’elle serait prête à se battre contre une fille superficielle (pas besoin de préciser qu’elle les déteste).
Physique : Plutôt mignonne, Felicity n’est tout de même pas une beauté fatale digne d’un numéro spécial Playboy. Ses longs cheveux descendent jusqu’au creux de ses hanches, et son colorés d’un magnifique blond doré, qui scintille sous les rayons du soleil. Ses yeux, au même titre que ses cheveux, sont en fait bruns, mais la mutation de la GE les a pâlis : ils sont devenu jaunes ! Tout aussi jaunes que la robe-qui-tue-les-yeux qu’elle porte toujours depuis la GE. Felicity a un visage plutôt rond, aux traits doux, qui ne témoignent pas du tout de son éternel je-m’en-foutisme, mais plutôt d’un optimisme qui n’est pas le sien. Son corps bien féminin aux courbes non négligeable est plutôt fin, faisant d’elle une personne ni maigre, ni grosse. Au poids parfaitement proportionnel à sa taille (environ 1m65), elle ferait certainement des jalouses parmi certaines filles (des superficielles comme elle les hait). Plutôt frêle, elle n’est pas une sportive, plutôt concentrée sur la littérature et les jeux vidéos. Lors de la Great Eradication, elle portait une robe de bal heureusement plutôt légère et simple, qu’elle dut couper à la mi-cuisse pour être confortable. Sale et déchirée de toute part, cette robe jaune canari est pourtant sa seule possession dans ce monde cruel. Elle porte des piercings aux oreilles seulement, et a un petit tatouage dans le bas du dos, qui ne représente qu'une simple étoile.
Talents : Elle est plutôt habile dans les langues, parlant le français, l’anglais, l’espagnol et quelques mots de plusieurs langues, sinon, ses talents se résument à la résolutions d’énigmes de jeux vidéos.
Histoire : Née dans une famille moyenne de Sydney, Felicity a grandi dans un milieu plutôt banal dans le genre : sa mère qui ferait tout pour elle, et son père, distant, qui lui donne beaucoup d’affection sans retour. Ses parents s'étaient rencontrés, quelques années auparavant, dans un bar. Couverte sous une épaisse carapace d’indifférence et de je-m’en-foutisme aigu, elle a grandi sans vraiment avoir d’attache à rien ni personne, si ce n’est son chien, un superbe bouvier-bernois, qui ne l’aimait par contre que parce qu’elle lui fournissait caresses et nourriture tous les jours. Elle était une élève douée, très intelligente, mais qui manquait beaucoup de sociabilité envers les autres, et c’est pour ça que la plus grande partie de son primaire et de son secondaire en Australie fut les pires années de sa vie. Ne travaillant que pour son propre chef, elle refusait de mettre sa culture au profit des autres. Elle ne voulait pas mettre ses études en péril. Cependant, contre son gré, un jeune homme s’installa dans sa vie comme un cheveu sur la soupe. Rencontré sur Internet, lors d’un chat imprévu, Andrew Cunningham était un jeune homme classe et charmant, intelligent et très à l’écoute des problèmes que Felicity lui racontait. Ils passaient beaucoup de temps à discuter virtuellement, jusqu’à ce qu’ils se rendent compte qu’ils étaient dans la même école. Cette découverte créa un froid entre les deux, jusqu’à ce qu’Andrew vienne lui reparler, au bahut cette fois, et qu’ils approfondirent cette relation jusqu’à devenir intimes.
Cette relation la mit en contact avec beaucoup d’autres jeunes gens de son école, principalement des amis de son copain, et c’est comme ça qu’elle devint de plus en plus sociable, jusqu’à devenir, finalement, récipiendaire d’un prix d’implication sociale (chose qu’elle n’aurait jamais pensé obtenir, il faut le dire). Cependant, ses liens avec ses parents devinrent presque inexistants, et elle alla même jusqu’à ne plus manger avec eux (chose qui était une tradition dans la famille). Andrew, plus vieux qu’elle, finissait l’école lorsqu’elle entrait dans sa dernière année. Il acheta donc un petit appartement, et invita Felicity à vivre avec lui, offre qu’elle accepta. Elle s’établit donc à quelques rues de son écoles, loin de ses parents, avec son chien et son petit ami.
C’était lors d’un bal, organisé par l’école, que la Great Eradication détruit tout, jusqu’en Australie. Une des seules survivantes de la fête, elle fut ramenée à Glyn Ruadhan contre son gré, alors qu’elle restait agrippée contre le corps de son défunt petit ami. Il fallut une forte dose de sédatif pour qu’elle tombe comme un chiffon, et qu’ils l’embarquent à bord d’un hélicoptère pour l’emmener sur l’île mutante.
